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Catalogue Hélène Hoppenot | Journal 1945-1951
Hoppenot PCJI 2024 reduit 75Ko.jpg Image 1 sur 3
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1945.04.09 Les Hoppenot et H. Guillemin sculpture Laurens.jpg Image 2 sur 3
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1941.09.26-Hoppenot.jpg Image 3 sur 3
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Hélène Hoppenot | Journal 1945-1951

36,00 €

“On voudrait vivre plus vite, tourner, tourner les pages de cette unique vie« 

Années 1945-1951. Pour la troisième fois de son existence de femme de diplomate, Hélène Hoppenot (1894-1990) revient vivre en Suisse, car le général de Gaulle y a nommé son mari ambassadeur de France.

À Berne, se mêlent les rituels protocolaires, qui l’ennuient, et les brillantes manifestations culturelles (expositions, concerts, représentations théâtrales, conférences d’écrivains) qu’elle organise avec audace, non sans solliciter l’attaché culturel de l’ambassade, Henri Guillemin, tout vibrant d’érudition.

De temps en temps, elle revient dans le maussade Paris d’après-guerre auprès de sa famille : elle assiste à la fin de sa mère et de son beau-père. Dans le même laps, sa fille Violaine se marie, a trois enfants et divorce. Mais Hélène Hoppenot retrouve avec joie ses fidèles amis : Adrienne Monnier, Léon-Paul Fargue, les Claudel, Pablo Picasso, Constantin Brancusi, Marthe de Fels, Jules Supervielle, Mary Reynolds et Marcel Duchamp, Blaise et Raymone Cendrars, Darius et Madeleine Milhaud, qui lui rappellent, quoique vieillissants, l’intensité intellectuelle des années 30.

Sans nul doute, le personnage principal de ces années est Charles de Gaulle : sa vision politique, ses discours, son exercice du pouvoir l’intéres­sent au plus haut point… On lit aussi, en des pages informées et lucides, la fin de la SDN, la mort de Hitler, Pétain à Sigmaringen, la reddition de l’Allemagne nazie, les procès du « terrible vieillard » et de Pierre Laval, les bombes à Hiroshima et Nagasaki, la naissance de l’ONU, la venue de Winston Churchill à Berne, l’affaire de l’Exodus, l’effondrement du MRP, les grèves de 1947, Mao Tsé-toung… – et quantité de faits vécus depuis la coulisse, décryptés et entrecoupés des incessantes rumeurs du Quai d’Orsay…

Pendant que Henri Hoppenot assiste sans illusion aux stratégies internationales en ce début de Guerre froide, Hélène Hoppenot voit ses photographies publiées et reconnues. Équipée d’un Rolleiflex et de son passeport diplomatique, elle voyage en Italie (1948), en Tunisie (1950 et 1951) et en Grèce (1951). En février 1950, surgit Romain Gary, alors au seuil de sa romanesque carrière diplomatique et littéraire. Hélène et Henri Hoppenot le prennent en amitié, retrouvant le plaisir de frayer avec un diplomate féru de littérature et de poésie, comme le furent leurs amis Paul Claudel ou Saint-John Perse.

Édition établie et annotée par Marie France Mousli, qui a déjà proposé, de Hélène Hoppenot, le Journal 1918-1933, paru en 2012, le Journal 1936-1940, en 2015, le Journal 1940-1944, en 2019.

Précisions

  • Parution: octobre 2024

  • 13 x 21,5 cm. 488 pages

  • 29 illustrations n. & bl

  • Index des noms cités

  • Isbn: 978-2-912222-81-7

  • PVP: 36 €

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“On voudrait vivre plus vite, tourner, tourner les pages de cette unique vie« 

Années 1945-1951. Pour la troisième fois de son existence de femme de diplomate, Hélène Hoppenot (1894-1990) revient vivre en Suisse, car le général de Gaulle y a nommé son mari ambassadeur de France.

À Berne, se mêlent les rituels protocolaires, qui l’ennuient, et les brillantes manifestations culturelles (expositions, concerts, représentations théâtrales, conférences d’écrivains) qu’elle organise avec audace, non sans solliciter l’attaché culturel de l’ambassade, Henri Guillemin, tout vibrant d’érudition.

De temps en temps, elle revient dans le maussade Paris d’après-guerre auprès de sa famille : elle assiste à la fin de sa mère et de son beau-père. Dans le même laps, sa fille Violaine se marie, a trois enfants et divorce. Mais Hélène Hoppenot retrouve avec joie ses fidèles amis : Adrienne Monnier, Léon-Paul Fargue, les Claudel, Pablo Picasso, Constantin Brancusi, Marthe de Fels, Jules Supervielle, Mary Reynolds et Marcel Duchamp, Blaise et Raymone Cendrars, Darius et Madeleine Milhaud, qui lui rappellent, quoique vieillissants, l’intensité intellectuelle des années 30.

Sans nul doute, le personnage principal de ces années est Charles de Gaulle : sa vision politique, ses discours, son exercice du pouvoir l’intéres­sent au plus haut point… On lit aussi, en des pages informées et lucides, la fin de la SDN, la mort de Hitler, Pétain à Sigmaringen, la reddition de l’Allemagne nazie, les procès du « terrible vieillard » et de Pierre Laval, les bombes à Hiroshima et Nagasaki, la naissance de l’ONU, la venue de Winston Churchill à Berne, l’affaire de l’Exodus, l’effondrement du MRP, les grèves de 1947, Mao Tsé-toung… – et quantité de faits vécus depuis la coulisse, décryptés et entrecoupés des incessantes rumeurs du Quai d’Orsay…

Pendant que Henri Hoppenot assiste sans illusion aux stratégies internationales en ce début de Guerre froide, Hélène Hoppenot voit ses photographies publiées et reconnues. Équipée d’un Rolleiflex et de son passeport diplomatique, elle voyage en Italie (1948), en Tunisie (1950 et 1951) et en Grèce (1951). En février 1950, surgit Romain Gary, alors au seuil de sa romanesque carrière diplomatique et littéraire. Hélène et Henri Hoppenot le prennent en amitié, retrouvant le plaisir de frayer avec un diplomate féru de littérature et de poésie, comme le furent leurs amis Paul Claudel ou Saint-John Perse.

Édition établie et annotée par Marie France Mousli, qui a déjà proposé, de Hélène Hoppenot, le Journal 1918-1933, paru en 2012, le Journal 1936-1940, en 2015, le Journal 1940-1944, en 2019.

Précisions

  • Parution: octobre 2024

  • 13 x 21,5 cm. 488 pages

  • 29 illustrations n. & bl

  • Index des noms cités

  • Isbn: 978-2-912222-81-7

  • PVP: 36 €

“On voudrait vivre plus vite, tourner, tourner les pages de cette unique vie« 

Années 1945-1951. Pour la troisième fois de son existence de femme de diplomate, Hélène Hoppenot (1894-1990) revient vivre en Suisse, car le général de Gaulle y a nommé son mari ambassadeur de France.

À Berne, se mêlent les rituels protocolaires, qui l’ennuient, et les brillantes manifestations culturelles (expositions, concerts, représentations théâtrales, conférences d’écrivains) qu’elle organise avec audace, non sans solliciter l’attaché culturel de l’ambassade, Henri Guillemin, tout vibrant d’érudition.

De temps en temps, elle revient dans le maussade Paris d’après-guerre auprès de sa famille : elle assiste à la fin de sa mère et de son beau-père. Dans le même laps, sa fille Violaine se marie, a trois enfants et divorce. Mais Hélène Hoppenot retrouve avec joie ses fidèles amis : Adrienne Monnier, Léon-Paul Fargue, les Claudel, Pablo Picasso, Constantin Brancusi, Marthe de Fels, Jules Supervielle, Mary Reynolds et Marcel Duchamp, Blaise et Raymone Cendrars, Darius et Madeleine Milhaud, qui lui rappellent, quoique vieillissants, l’intensité intellectuelle des années 30.

Sans nul doute, le personnage principal de ces années est Charles de Gaulle : sa vision politique, ses discours, son exercice du pouvoir l’intéres­sent au plus haut point… On lit aussi, en des pages informées et lucides, la fin de la SDN, la mort de Hitler, Pétain à Sigmaringen, la reddition de l’Allemagne nazie, les procès du « terrible vieillard » et de Pierre Laval, les bombes à Hiroshima et Nagasaki, la naissance de l’ONU, la venue de Winston Churchill à Berne, l’affaire de l’Exodus, l’effondrement du MRP, les grèves de 1947, Mao Tsé-toung… – et quantité de faits vécus depuis la coulisse, décryptés et entrecoupés des incessantes rumeurs du Quai d’Orsay…

Pendant que Henri Hoppenot assiste sans illusion aux stratégies internationales en ce début de Guerre froide, Hélène Hoppenot voit ses photographies publiées et reconnues. Équipée d’un Rolleiflex et de son passeport diplomatique, elle voyage en Italie (1948), en Tunisie (1950 et 1951) et en Grèce (1951). En février 1950, surgit Romain Gary, alors au seuil de sa romanesque carrière diplomatique et littéraire. Hélène et Henri Hoppenot le prennent en amitié, retrouvant le plaisir de frayer avec un diplomate féru de littérature et de poésie, comme le furent leurs amis Paul Claudel ou Saint-John Perse.

Édition établie et annotée par Marie France Mousli, qui a déjà proposé, de Hélène Hoppenot, le Journal 1918-1933, paru en 2012, le Journal 1936-1940, en 2015, le Journal 1940-1944, en 2019.

Précisions

  • Parution: octobre 2024

  • 13 x 21,5 cm. 488 pages

  • 29 illustrations n. & bl

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